Contrebrassens et Pierre de Gaillande mélangent leur répertoire pour une soirée unique où Brassens se chante en anglais et en Français, pour le plaisir des mots et du swing. 

Pierre de Gaillande est un chanteur/auteur/compositeur franco-américain qui vit a New-York.  Depuis 2009, il s’est employé a faire connaître Georges Brassens aux public anglophones en traduisant en anglais les chansons du légendaire chanteur-poète français. Pour le centenaire de Brassens en octobre 2021, de Gaillande se présentera en concert a Paris et a Sète.

De Gaillande a publié deux albums de chansons de Brassens, Bad Reputation Volume 1 et 2, et ils ont été accueillis avec enthousiasme par la presse spécialisée américaine et française. Un troisième album est en cours de production. Pierre présente ce répertoire régulièrement aux Etats-Unis et en France. Il est également compositeur, chanteur et guitariste pour le groupe new-yorkais Open Kimono, et a parcouru les Etats-Unis, l’Europe et la Russie avec son groupe, Melomane.

Dossier de presse : https://pierredegaillande.com/bad-reputation-francais

Pauline Dupuy nous fait redécouvrir Brassens sous un éclairage neuf. Révélant la saveur musicale de ses mélodies et la profondeur de ses textes, elle nous promène dans des histoires choisies autour de la femme…
Après avoir roulé sa bosse seule avec sa contrebasse, la chanteuse s’entoure à présent de complices invités à se serrer avec elle tout contre Brassens. L’univers fantasque et surprenant de Michael Wookey, la délicieuse fantaisie des cuivres arrangés par Franck Boyron se marient avec merveille et justesse à la douceur et la sobriété de la contrebassiste.

« Pauline Dupuy est depuis devenue, malgré le nombre de postulants, l’une des plus grands interprètes de Brassens. Tant que c’en est simplement bouleversant. » Michel Kemper, nos enchanteurs.

« Les chansons de Brassens, une femme et une contrebasse. Un pari audacieux relevé haut la main par une artiste étonnante (…) Avec talent et fraicheur. Avec respect et malice. Avec féminité. Et la surprise est magistrale. » Karine Prost, rue du théâtre 

• Contrebrassens ? On est pour ! Le Canard Enchaîné
• Régénérant en diable (…). Nouveau dans le genre, fragile, émouvant, costaud. Libération Jazz
• Une espièglerie en résonance avec la tendre insolence de Brassens. L’Humanité
• Le Brassens de Pauline coule comme de l’eau de source. France Culture
• Brassens par une femme ? Georges en aurait fait une chanson. TTT Télérama
• En spectacle subtil, élégant et cocasse. Une pépite musicale. Le Figaro